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Lorsque tintent les clochettes, les schyzophrenes...accelerent



    Avertissement

    Toute attaque personnelle déplacée voire injurieuse présente dans l'article suivant ne serait absolument pas fortuite. En outre, seules les dates indiquées sont réalistes, le reste n'étant que délirantes divagations.
    NB: mes commentaires sur la course proprement dite sont assez succincts car je roupillais la plupart du temps.

    Grenoble - 25 Avril 2005 – 17:53

    Je relis posément, à haute voix le message de Marc, l'helvète, tombé sur mon téléscripteur il y a de cela quelques minutes: «ca te dirait de faire la course du 1er mai en tandem dos a dos?»
    J'avais zappé prématurément ce courriel trop occupé à répondre à ceux, TRÈS nombreux, de mes fans tremblantes et fiévreuses dans l'attente d'une seule de mes missives. En effet, mes groupies ne sont avares ni d'adjectifs flatteurs ni de triples ponctuations qui en disent long. En revanche, le style laconique et bourru du message de Marc contraste singulièrement. Et pourtant! De chaudes larmes roulent maintenant sur mes joues un poil piquantes de l'hirsutisme diurne: c'est la première fois de la journée...de la semaine... euh...de mon existence toute entière que, sans aucune sollicitation lourdingue de ma part, quelqu'un me propose de devenir son partenaire, ne serait-ce que pour quelques instants de bonheur et de transpiration mêlés, collés dos à dos.
    Après un dernier essorage de kleenex, je prends la route pour regagner mon domicile (même pas honte de consulter mes mails perso au boulot) sans laisser transparaître dans ma cadence de pédalage tout l'émoi qui m'étreint la glotte. Je sais que mon cobra va souffrir. Je n'ai pas le courage de lui briser le cœur, ou plus exactement. la fourche arrière, dès ce soir.

    Moirans - Samedi 30 Avril – 14:00

    Marc débarque dans mon bled par une chaleur claviculaire...de celles qui pèsent sur les épaules comme autant de sacs à dos copieusement garnis pour l'ascension du Kilimanjaro par la face nord. Machinalement, d'un balayage vif comme le battement d'un cil de poulpe, mon œil glauque entre-aperçoit dans le coffre, le monstre encore assoupi, scindé en deux morceaux distincts mais imposants comme les vertèbres d'un hippocampe géant. Nous prenons un instant pour quelques rafraîchissements et un court échange de banalités telles que: «le module d'élasticité de l'epoxy F1201 de chez GrostrollTM permet une plus grande souplesse lors des séances de burning en vélomobile tadpole » ou encore « les chiottes sont DERRIÈRE la machine à laver... au cas ou t'aies un doute!». Ensuite nous nous dirigeons à nouveau et à grandes enjambées (plus petites pour moi mais tellement plus nombreuses!) vers sa voiture. Tel un apprenti sorcier, Marc va bientôt redonner vie à cet animal étrange issu des limbes cérébrales saturées de marijuana marocaine de nos sympathiques hollandais. Matthieu alléché par les flaveurs du flevo nous rejoint alors que nous terminons les ultimes réglages.

    Moirans - Samedi 30 Avril – 15:00

    Des petits cris s'échappent de mes lèvres un peu comme la première fois (c'était aussi la dernière fois) que j'avais osé embrasser une fille. Mélange de voluptueuses sensations, de délicats vertiges ponctués de respirations hésitantes, et aussi avec la même appréhension de prendre un gros gadin. Les premiers virages s'enchaînent, puis la vitesse augmente progressivement, grisantes impressions. André, un voisin condorisé, après un moment bouche bée, décide de nous accompagner sur quelques km.
    Une question: à moitié paumé, avez vous déjà tenté d'indiquer votre chemin dos à la route en utilisant des termes barbares de la marine suisse tel que bâbord et tribord? Stupide, me direz vous. Il faut croire que je n'en suis plus à une ineptie près. En tout état de cause, André manquant cruellement d'entraînement est à bout de souffle. Il décide de rebrousser chemin tout en s'engageant à lourder ses trois 4x4 (soit un 12x12!) pour se mettre sérieusement au vélo. Tout logiquement, notre cadence va crescendo et dans une côte Matthieu est irrémédiablement décroché. Alors, mon ego rabougri enfle dans ma poitrine façon baudruche de fête foraine, au point que mes aréoles en sont toutes boursouflées.

    Moirans - Dimanche 1er Mai – 9:00

    Le chuchotement de la vie qui reprend cours dans la ville me tire de mon sommeil comme une brise légère attise une braise presque éteinte. Pas le temps de crépiter dans mes draps que mon portable se met a trépigner de la sonnette. Une estimation rapide de ma consommation de mégawatts pour la course mobilise ma cervelle atrophiée: «12...ouais c'est ça tu prends 12 baguettes !» La voix de l'autre Marc ne bronche pas ... quel morfale celui la. De longues minutes plus tard, nos ventres en l'air comme des grosses baleines échouées, nous nous relaxons en feuilletant des revues cyclistes exotiques, nous attardant longuement sur les pin-ups en jalonnant les pages: ici une superbe créature sur un Brompton, là une nymphette sur un Rans. Il y a aussi de véritables stars comme Tanya Markham mais surtout Véronique et Gabrièle sur un tandem Greenspeed en poster central et détachable dans Vélovision. J'en frissonne encore!

    Moirans - Dimanche 1er Mai – 12:26

    Imperceptiblement, la tension est montée d'un cran. Marc et moi nous préparons mentalement avec cette faculté d'intériorisation, de focalisation des ressources intellectuelles dont seuls les grands champions sont capables. Évidemment, il manque à notre panoplie de surhomme un accessoire: du muscle! Mais c'est peine perdue, puisque que Gérard, Fred puis Matthieu se hâtent de saper notre concentration en surgissant pour que je leur serve mes nouilles, tout en tournant en dérision, agrémentée de répliques salaces, mes déboires sentimentaux. Secrètement, les yeux embués mais arborant un sourire de camouflage, je me jure de ne pas finir derrière eux cette course, ni plus aucune autre et, à défaut d'arborer une petite moustache de dictateur, de tous les exploser sur la route pour assouvir ma vengeance. Encore heureux que Vincent ne fasse pas partie des convives.

    Bourg les Valence - Dimanche 1er Mai – 14:17

    Une belle brochette de coureurs se regroupe sous le soleil voilé et dans un vent de sud très sensible. Les vélos sont disséqués du regard dans les moindres détails, et il nous tarde tous d'enfin effectuer un tour de chauffe tandis que les vélos droits en finissent avec leur épreuve.
    Le circuit d'une longueur approximative de 6km est à parcourir 7 fois. Le revêtement tient plus de la croûte d'un brownie cramé de Christelle que d'un vélodrome bordelais. L'alternance de parties sinueuses et rectilignes ainsi qu'une courte côte permettent tantôt d'exprimer la puissance pure, tantôt la maniabilité et l'art du pilotage. Autant le dire immédiatement: le Marc-craM préfère les premières aux secondes où le manque de manœuvrabilité et de rigidité du tandem pose problème.

    Bourg les Valence - Dimanche 1er Mai – 16:15

    Quelques applaudissements fusent dans la foule lorsque nous nous agglutinons sur la ligne de départ dans un assemblage hétéroclite d'engins de toutes natures. De mon poste d'observation, je peux étudier les visages des concurrents à loisir. Les sourires se figent brusquement lorsque le départ est donné. Immédiatement, les cadors se placent aux avant-postes en ne laissant à Mireille et Fred que quelques secondes de gloire en tête du cortège. Impossible de voir ce qui se passe devant, et comme Marc n'a pas la parole facile à près de 50km/h, j'ignore si nous suivons le rythme des premiers. Derrière, en revanche, quelques parasites tentent de s'accrocher à notre sillage de camion, sans franc succès car je mets les watts pour conserver les quelques mètres suffisants. Le plus tenace d'entre eux, je le surnommerai «nero tiquos» tant il s'accroche. Il nous reprend 50m a chaque virage serré tandis qu'il lache prise dans les portions rapides. Dans le deuxième tour, alors que nous faisons le trou, Marc tourne à bâbord...non à tribord...en tout cas se plante dans un virage. La manœuvre qui s'en suit nous fait perdre au bas mot 30 longues secondes mises à profit par Jérôme pour nous dépasser à nouveau. La poursuite s'engage alors et au moment propice, nous le doublons. Marc me demande de me calmer car le flevo a une fâcheuse tendance à se vriller lorsque la vitesse atteinte frise l'indécence à 69km/h. En fait, grâce à l'inertie du tandem, nous coupons notre effort à mi-pente du faut plat descendant qui précède l'épingle à cheveux juste avant la côte qui tourne. Vous suivez? Non c'est normal nous sommes trop rapides! Ces moments de récupération sont les bienvenus car à l'arrière, je ne bénéficie pas du refroidissement de l'air et je suis en surchauffe. La bonne surprise, c'est la faculté de l'engin à gravir le petit raidillon même si cela requiert une débauche énergétique dont je ne soupçonnais pas l'existence en moi. C'est alors, qu'ayant la situation bien en mains et que nous nous sentons capables, pourquoi pas, de revenir sur la tête de la course, que Marc se plante à nouveau dans le même virage que précédemment. Il rouspète encore contre la signaleuse de course, il est vrai pas judicieusement placée. A l'issue de notre demi-tour je m'empresse de lui adresser mon plus joli sourire pour la réconforter: c'est ça avoir du cœur, se comporter en gentleman ... et aussi être un dragueur complètement ringard!
    Pendant ce laps de temps Jérôme a refait une partie de son retard mais ne parvient pas a combler le trou. Je peste contre Marc et son manque de lucidité. Pourtant il ne peut pas être en hypoglycemie compte tenu de tout ce qu'il s'est baffré avant la course. Pas grave, il faut tout donner dans les deux tours qui restent. Et c'est ainsi que les deux Marc finissent craMés.

    Bourg les Valence - Dimanche 1er Mai – 20:23

    Nous sommes encore une grosse poignée à squatter la terrasse de chez Vincent et Christelle. Tout en dévorant nos pizzas, nous revivons la course et partageons dans la convivialité nos souvenirs de bents douloureux ou joyeux. Le ciel est limpide, la fraîcheur subtile de la nuit enveloppe nos paroles légères. Un délicieux brownie même pas trop cuit, vient apporter une touche finale toute en douceur à cette journée réussie.
    Quelques heures plus tard je sombrerai dans le coma de mes rêves en serrant dans mes bras... Tanya? non...Gabriele? même pas...Mireille? oh non elle bave , ni même La noireaude: tant pis de vache....en fait juste mon petit doudou en carbone, heureux de me retrouver après mon infidèle escapade.


    Fred – 9eme sur M5 lowracer vert

    Je savais que Fred en fin tacticien qu'il est n'aurait aucun scrupule à nous suivre si le souffle suivait. Mais ni l'un ni l'autre ne suivent et c'est dans son style caractéristique de locomotive à vapeur de dessin animé qu'il sombre au loin.


    pas de photo pour l'instant
    Malric – 8eme sur Baron gris
    Malric, le pirate n'a pas revêtu son cache œil de verre (facile celle la!)...par contre au niveau jambe de bois il est bien pourvu puisqu'il en a deux bien noueuses à l'issu du 3eme tour qui handicaperont sérieusement pour la suite de la course.

    Jérôme – 7eme sur VK2 noir forcement

    Jérôme alias «nero tiquos» au mépris des règles de l'équilibre attaque les virages sans embûche comme un ciseau aboie sur la bûche. Sa maîtrise du pilotage alliée aux performances de sa monture lui permettront de faire illusion près de 5 tours. Puis les dures lois de l'entraînement de fond, du wattage par kilo de viande, du pourcentage maxi de chips dans le sang, lui rappelleront cruellement qu'à se frotter au tandem on se prend une calotte glaciale.

    pas de photo pour l'instant
    Tony – 6eme sur Baron X-low gris
    Soudain au loin, je vois osciller un point jaune. Immédiatement je suis étreint de la pensée suivante: «c'est sur, ce cycliste qui donne tout ce qu'il a nous veut du mal!» Pour ne pas affoler Marc qui se plaint de crampes et qui a cessé de pédaler depuis déjà 3 tours, je décide de minimiser la menace en plaisantant: «Tony nous fait un retour un tantinet tonitruant! Pose ton bouquin et mets les gaz, y'a l'feu au lac!» En tout cas, ce Tony a de l'avenir, parole de pro!


    Mireille – 14eme – 1ere feminine sur VK1 noir of course

    Mireille, toute de grâce et de légèreté malgré un faciès rougi, non pas par la honte de se faire prendre un tour mais plutôt par les efforts douloureux que lui imposent sont état de gastéropode avachi hibernant tout l'hiver sous la couette. Une superbe performance tout de même, car je pense que sa moyenne ne prête pas à rougir, elle. Mais elle est jolie toute rouge aussi!


    Gabriele – 16eme – 2eme feminine sur tricycle Kietviesel rouge

    La poire du klaxon de Gabriele se souviendra longtemps de ce 1er Mai tant elle fut maltraitée par cette tricycliste néanmoins courageuse et sympathique..enfin ça c'est ce que je pensais jusqu'à ce que quelques jours plus tard, à Mondragon, elle n'hésite pas à solliciter deux solides gaillards (qui se reconnaîtront) lors d'une petite grimpette de rien du tout pour finalement les mouiller au bord de la cascade. Note pour les obsédés textuels, dont je suis: rien de scabreux dans tout cela.


    Jean Paul (derrière Fred sur la photo) – DNF sur M5 lowracer vert

    Jean Paul aurait pu nous faire un grand numéro ce 1er Mai. Mais la poisse s'est immiscée dans sa chambre (non ce n'est pas de sa femme Gabriele sus-citée dont je parle ici!). Sans cette crevaison, nul doute que ses cuisses, encore agitées de leurs jeunes années de héros à pédale, seraient parvenues à le hisser non loin du podium et probablement devant notre tandem.

    Jean Francois (à pied sur la photo) – 4eme sur Baron jaune

    Jean Francois est un athlète de haut niveau: bah oui il habite à 1200m d'altitude. Et tandis que la ly masse cocoonait tout l'hiver, JF déneigeait 50 tonnes de congères. Résultat, une superbe prestation, et un cœur à 70 maximum lorsqu'il franchit la ligne d'arrivée même pas crevé en courant, le vélo, crevé lui, sous le bras.

    Matthieu (à gauche sur la photo) – 10eme sur shockproof noir

    La veille Matthieu avait souffert de la chaleur lors de notre séance de mise au point. Le jour J les mêmes conditions ont causé les mêmes dégâts mais cette fois ci pas question pour Marc-Cram d'attendre son retour. Si bien que le pauvre a du se farcir de l'owanestek pendant 7 tours. Et oui dure la vie!

    Owanestek – 11eme sur Condor noir

    Revenu à son meilleur niveau (je sais, ça n'impressionne pas vraiment!) le niçois légendaire prouve une nouvelle fois qu'il est un grand seigneur. Préférant prêter son Baron au guidon duquel il avait pourtant toutes les chances d'accrocher une brillante 11eme place, il décide de rouler sur son fidèle Condor moins rapide. Une heure de tchatche plus tard, il termine cassé mais heureux ... et 11eme.


    Vincent – 1er sur Baron X-low gris à pointe
    Le grand vince, vinch, ou moins prosaïquement « mon petit lapinou » comme le surnomme affectueusement sa femme Christelle n'a pas failli à sa réputation: il a encore gagné...sniff...mais avec un panache certain puisque c'est en puisant dans ses réserves qu'il s'est imposé dans le final. Les «on va le nikerTM» émis par les plus bovins d'entre nous sont encore restés vœux pieux cette année.

    Yannick - 2nd sur Baron X-low gris à pointe

    Le yéti n'hésite jamais à payer de sa personne une performance magistrale. Pourtant cette fois-ci, le cuir pleine fleur de son fessier s'en est sorti sans la moindre érosion au 3eme degré. Sans ce surplus de prise de risque, Yannick ne termine donc qu'à une décevante seconde place...boo!!

    pas de photo pour l'instant
    Gerard - 12eme sur Reynolds T-bone titane
    Les 4X4 aiment le T-bone saignant. Dommage la route étant fermée à la circulation auto, Gérard a du compléter les tours de circuit requis sans passer par la case broyage. En tout cas, il peut s'enorgueillir d'avoir susciter l'admiration, non pas grâce à ces performances, mais plutôt à son vélo rarissime.

    pas de photo pour l'instant
    Cedric – 13eme sur Baron X-low gris
    Un débutant sur le Baron d'Owanestek?! Vous vous dites «aucune chance de jouer la gagne». Bien vu!...mais mal vu, car pour Cédric (alias Chie-rider) l'un des rares rescapé de Nice, l'essentiel était de se mêler au peloton dans la convivialité et le bon esprit, et sur ce point mission accomplie.

    Jean – 15eme sur Baron gris

    Bravo à Jean pour sa promptitude...à nous délivrer des photos au cœur de l'action. Pour ceux qui hésitent encore, voici 1 nouvelle illustration qu'il n'est pas nécessaire de viser le podium pour prendre du plaisir à rouler le 1er mai.

    Denis (derrière Yannick sur la photo) - 3eme sur VK2 noir à pointe

    La noireaude (oops! je viens de révéler innocemment ton pseudo) est en forme en ce moment. Mais incontestablement pas suffisamment pour garder la petite lueur de lucidité permettant de griller le yéti et vinch sur le fil. Je soupçonne son taux anormalement élevé d'hormones mâles (et femelles!) de contrarier sa progression en le dispersant en ruminations libidineuses.

    Marc - craM – 5eme sur tandem dos à dos flevo

    Deux héros modernes aux cœurs gros comme deux cuisses de Tony. Sacrifiant leurs chances individuelles de victoire ils décident d'offrir du spectacle et de l'émotion au nombreux public. Ce dernier, reconnaissant, connaisseur et en transe n'hésitera pas à leur réserver une bronca digne de la féria de Tchernobyl à chacun de leurs passages. Notez à ce propos, que Marc avait eu la délicate attention de placer une affichette sur le dossier de mon siège sur laquelle était inscrit: «si vous pouvez lire ceci c'est que le gnome est tombé»

    Pour votre culture perso, le tandem dos à dos existait déjà a l'époque de la Perse antique


le 11 mai 2005 par Vipère




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